
« Il illustre une approche éthique non pas par de grandes démonstrations mais par des gestes bienveillants », a-t-il commenté le jour de la remise du prix.
Ce film choral raconte les histoires parallèles de cinq jeunes mères adolescentes accueillies dans une maison maternelle, près de Liège, en Belgique. Il s’inscrit dans la continuité du cinéma social des réalisateurs belges. « Le film explore la première et essentielle relation de toute vie humaine : la maternité, explique le jury œcuménique. Cela nous ramène à une vérité profonde : l’amour peut perdurer, même quand la famille – cette structure sociale fondamentale – est défaillante, quand les circonstances sont défavorables, quand le fardeau des responsabilités d’adultes pèse sur la jeunesse. »
Il en ressort un film très émouvant, poignant même, qui se termine sur une note d’espérance.
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