Harvest Moon de Neil Young, Johnny and Mary de Robert Palmer, A Horse With No Name d’America, Forever Young d’Alphaville, I’m Not In Love de 10 CC et puis Elton John, Gilbert O’Sullivan, Eddie Vedder de Pearl Jam, Simply Red… Tantôt au plus près de la trame originelle, tantôt inspiré par un mot ou un sentiment, il se livre à des plaisirs d’auteur baguenaudant en dehors de ses thèmes habituels pour mieux y revenir – l’amour, l’amour, l’amour, la fraternité.
In French Please ! se savoure autant comme un jeu de ping-pong émotionnel avec des tubes décontextualisés et comme une méditation sereine sur les affres traversées par un cœur. Le jeu est d’autant plus cohérent qu’Adamo a fait appel à Stephan Eicher pour la production de l’album. Élégance radieuse…
In French Please !, Salvatore Adamo
