Une bonne nouvelle, ça se partage
                    La transmission de la foi est-elle en panne ? Au vu de la culpabilité qui taraude face à la désertification des bancs et à l’absence de jeunes dans les temples, il est légitime de s’interroger : une certaine pudeur, une trop grande adaptation aux coutumes et aux mœurs ambiantes n’ont-elles pas favorisé ce désintérêt apparent pour la vie spirituelle ?                
                
            
            
                        
                        
                        
                        
                        
                        
                        
                        
                        
                        