L’Église protestante française du Liban

Dans le cadre du développement de ses relations avec l’international, la région Centre-Alpes-Rhône de notre Église s’est mise en route avec la région allemande de Berlin et ses environs, dans une collaboration à construire.

La Conférence des Églises protestantes des Pays latins en Europe (CEPPLE) fête cette année ses 75 ans. Une histoire de collaboration et de solidarité au service du témoignage de l’Evangile, de 1950 à aujourd’hui.

Christof Theilemann, pasteur régional de l’EKBO (Berlin) chargé de l’œcuménisme et de la mission mondiale, sera l’aumônier du Synode régional de CAR qui se réunira à Crest du 7 au 9 novembre.

L’Église-paroisse de Stockholm est située en plein centre-ville, au 13 rue Humlegårdsgatan. Fondée en 1741, elle tire ses origines des vagues migratoires des huguenots forcés de s’exiler en Suède et ailleurs dans le monde, à la suite des persécutions dont ils furent victimes en France en raison de leur foi calviniste. C’est aujourd’hui une petite communauté aux diversités assumées.

Du 19 au 24 octobre dernier, six personnes de l’EPUdF du Crestois sont parties à Londres pour une visite apprenante au sein de l’Église anglicane Saint-Barnabas, dans le cadre du « projet Zacharie ».

Au cœur de Manhattan, sur la 60e rue entre Park Avenue et Lexington Avenue, se trouve une petite église d’irréductibles francophones : l’Église française du Saint-Esprit.

Après avoir fait le tour des régions de l’EPUdF et avoir fait un détour par l’UEPAL, le comité de rédaction de Réveil vous propose de partir à la découverte d’Églises protestantes francophones, au-delà de l’hexagone. Christian Seytre nous présente la CEPF.

L’Église catholique romaine s’apprête à vivre, du 4 au 29 octobre, un moment important de son histoire. Certains parlent d’un tournant historique, et même d’un Vatican III...

À Beaumont-lès-Valence, les catholiques occupent l’église entière jusqu’en 1792. Elle devient temple de la raison en 1793, puis temple en 1802 avec le rétablissement des cultes. Pour satisfaire les deux communautés qui se partagent alternativement l’édifice, en 1806 un mur de séparation est construit qui sépare la nef (temple) du chœur (église).