© Jacqueline Munguia/Unsplash
C’était lors d’une rencontre à Portes-lès-Valence. Une rencontre pour les conseillers presbytéraux. Un extrait de 1 Thessaloniciens servait de support, dans l’après-midi. De retour à la maison, j’ai recherché le passage dans le livre d’Antoine Nouis qu’on m’avait justement prêté. Et j’avise directement le paragraphe 5.16. Pourquoi celui-là ? « La joie est un commandement… Jésus a ajouté : Je vous ai parlé ainsi, pour que ma joie soit en vous, et que votre joie soit parfaite. »
Le choix des mots
Sur ce propos en trois volets, déjà « complète » me va tellement mieux que « parfaite ». Cela m’aide à entendre. Formidable ! Il me semble qu’on pourrait écrire ces propos en gros au-dessus de la porte des temples. Et pas à l’intérieur. Plutôt à l’extérieur. Tout cela est comme un jeu de piste dont je ne suis qu’un participant-joueur réjoui.
Probabilité des improbables
Si l’on veut bien appliquer les règles et les calculs de probabilité à cet ensemble de conditions fortuites, que j’ai raconté par le menu et qui m’a conduit à cette « découverte », on vérifiera aisément qu’il était littéralement improbable. Et pourtant nous en sommes à ce que je vous en parle. Et qu’est-ce que j’aurais à dire d’autre que mon étonnement ?
Appel à la solidarité spirituelle
Tenez : pour rajouter un peu de ludique dans cette page, j’avancerais volontiers une question au sujet de Jean 5.22 : « Car le Père ne juge personne : tout le jugement, il l’a remis au fils. » Quelqu’un m’a bien proposé une explication qui m’a particulièrement convenu. Mais j’en appelle à votre solidarité spirituelle pour m’éclairer d’une traduction alléchante : la vôtre. Je propose qu’on écrive à notre mensuel protestant, Réveil pour moi, et j’offrirai généreusement un kilo de mes patates en récompense d’une suggestion plausible et vivifiante… Et dans un prochain numéro, je me vous propose de partager avec vous la « solution » qui m’avait comblé, ainsi, peut-être, que la ou les meilleures des vôtres ? À voir. À suivre.
