Son objectif est de fixer
un nouveau cadre international. Le cadre juridique actuel, le « Protocole de Kyoto » est obsolète à plus d’un titre : au regard des plus gros pays émetteurs de gaz à effet de serre qui n’entrent pas ou plus dans ce protocole ; mais surtout au regard des risques et des signes avant-coureurs de catastrophes présents sur tous les continents. Comment transformer le consensus théorique – limiter le réchauffement de la planète à 2° C – en un acte politique concret ? Le premier impératif est peut-être de sortir des fléaux qui asservissent les hommes : l’appât du gain, la surconsommation, l’indifférence au prochain, l’irrespect de la terre nourricière et de ses habitants…
